Ce lundi 4 février, les élèves de CE2, CM1 et CM2 ont rejoint leurs camarades de Rospez pour répéter les 12 chants du répertoire de Choeur d’écoles qu’ils apprennent depuis le début de l’année en classe et lors des interventions de Christelle Gonet, intervenante musique à l’école.

Le 6 juin, ils seront 80 à se produire sur la scène du théâtre de l’Arche de Tréguier, dirigés par Myriam Kerhardy, chef de choeur et accompagnés d’un pianiste. Un très beau spectacle à ne pas rater !!!

Les billets pour assister au concert de nos jeunes artistes vous seront proposés à la vente à partir de mi-mai (5€/adulte et 2,50 €/enfant à partir de 2 ans, gratuit pour les moins de 2 ans mais obligation de réserver un billet. Principe d’un billet = une place). 

Ce vendredi 25 janvier, les classes de CE2/CM1 et CM1/CM2 sont allées au cinéma pour y découvrir le film d’animation Iqbal, l’enfant qui n’avait pas peur .

Iqbal vit dans la montagne avec sa maman et son frère. Mais celui-ci est malade et il faut des médicaments pour le guérir. Iqbal a le cœur sur la main : il est tout prêt à vendre sa petite chèvre adorée (un cadeau de son papa) pour acheter le remède. Le voilà parti seul en ville. Au marché, il rencontre un homme prêt à l’aider, qui lui propose beaucoup mieux qu’un prix pour sa chèvre : un travail qui lui permettra de gagner de l’argent !

Iqbal, l’enfant qui n’avait pas peur est un dessin animé inspiré d’une histoire vraie, celle d’Iqbal Masih, un enfant pakistanais qui a été exploité des années durant par un fabricant de tapis. Mais il a réussi à échapper à cette situation d’esclavage et a porté dans plusieurs endroits du monde un message de lutte contre le travail des enfants. 

Ce film d’animation est évidemment une fiction, qui met à la portée des jeunes spectateurs le thème de l’exploitation des enfants, en faisant d’Iqbal un petit garçon vraiment exceptionnel, et en s’éloignant sensiblement de la véritable histoire d’Iqbal Masih. 

Les élèves vont maintenant approfondir en classe ces thèmes que sont l’exploitation par le travail des enfants et plus largement les droits des enfants.

Cet exercice permet aux élèves de renforcer leurs compétences de production orthographique en mutualisant leurs connaissances et en confrontant leurs représentations du fonctionnement de la langue avec celles des autres. De plus, cela leur apprend également à argumenter, justifier et expliciter.